FGS Policy Brief

A call to action on FGS to protect marginalised women and girls from serious SRH complications, HIV and cervical cancer.

Female genital schistosomiasis is estimated by the WHO to affect as many as 56 million women and girls, primarily in sub- Saharan Africa. Although a clinical manifestation of a neglected tropical disease, FGS is also a neglected sexual and reproductive health rights (SRHR) issue. It can result in severe sexual and reproductive health (SRH) complications and is increasingly associated with an FGS/HIV/HPV syndemic in which disease interactions exacerbate underlying susceptibility. Despite the urgency, SRH service providers and most communities know little, if anything, about FGS. This policy brief urges stakeholder support to address key gaps identified by countries to address the needs of these women and girls.

We call on stakeholders to:

• Ensure health financing mechanisms support integration of FGS into health services
• Develop policy, technical and clinical guidance on FGS and FGS integration and facilitate technical assistance where needed

Le temps est venu - Répondre aux besoins non satisfaits des femmes et des filles en Afrique par l'intégration de la schistosomiase génitale féminine.

Un appel à l'action sur la schistosomiase génitale féminine pour protéger les femmes et les filles marginalisées contre les complications graves en matière de santé sexuelle et reproductive, le VIH et le cancer du col de l'utérus.

L'OMS estime que la schistosomiase génitale féminine (SGF ou la Bilhaziose génitale féminine BGF) touche 56 millions de femmes et de jeunes filles, principalement en Afrique subsaharienne. Bien qu'il s'agisse d'une manifestation clinique d'une maladie tropicale négligée, la schistosomiase génitale féminine est également un problème négligé en matière de droits à la santé sexuelle et reproductive (DSSR). Elle peut entraîner de graves complications en matière de santé sexuelle et reproductive (SSR) et est de plus en plus souvent associée à une synémie SGF/VIH/VPH dans laquelle les interactions entre les maladies exacerbent la susceptibilité sous-jacente. Malgré l'urgence, les prestataires de services de santé sexuelle et reproductive et la plupart des communautés ne savent pas grand-chose, voire rien du tout, sur la SGF. La présente note d'information invite les parties prenantes à combler les principales lacunes identifiées par les pays pour répondre aux besoins de ces femmes et de ces filles.

Nous appelons les parties prenantes à

• Veiller à ce que les mécanismes de financement de la santé soutiennent l'intégration de la SGF dans les services de santé
• Élaborer des orientations politiques, techniques et cliniques sur le SGF et l'intégration de la SGF et faciliter l'assistance technique si nécessaire.